Dix-neuf vitres de grande taille littéralement éclatées, dont les débris ont dû être ramassés pour la plupart, et, pour le reste, extraites, fragment par fragment de leur châssis par les techniciens municipaux Jocelyn Reboul et Jean-Jacques Brouard. Un travail qui les aura occupés toute la matinée de ce vendredi.
Le bâtiment aujourd'hui désaffecté sert à l'entrepôt d'une partie du matériel municipal, notamment les guirlandes, et une pièce est mise à disposition de la société du sou, mais rien n'a été dérobé. Seule la casse semble être l'unique motivation des malfaisants…Le mimétisme bête et méchant peut-être ?
Midi Libre d'aujourd'hui n'y va pas par quatre chemins...Et mon texte ci-dessus est devenu :
