mardi 11 décembre 2012

Françoise Faucher s'en est allée

La famille Faucher vient d'être une nouvelle fois durement éprouvée. Après le décès de Marcel, le mois dernier, c'est aujourd'hui sa belle-fille Françoise qui vient de s'éteindre, terrassée par un mal implacable. Elle avait 64 ans. 
La nouvelle de la disparation de Françoise Faucher a bouleversé beaucoup de monde, non seulement aux Mages, mais aussi dans toute la région où elle était très connue et appréciée, notamment dans le milieu éducatif, culturel et artistique. Avec son époux Jean-Marc, tous deux enseignants, ils ont marqué plusieurs générations de petits élèves par leur charisme et leur générosité pédagogique. Françoise a longtemps exercé à la direction de l'école maternelle de Rousson. Nul doute que son souvenir reste encore très vivace parmi ces petites têtes blondes ou brunes dont beaucoup sont devenues adultes aujourd'hui et qui gardent d'elle le souvenir d'une maîtresse douce, attentive et délicate.
A la retraite, le couple s'était retiré à la Grande-Motte, vivant pleinement un bonheur parfait. Parents comblés, heureux et fiers de la réussite de leurs enfants et de leurs six petits-enfants, ils  partageaient leur temps entre cette vie familiale intense et leur soif de connaissance, d'art et de culture. Françoise était incontestablement une femme élégante et raffinée, une artiste créative extrêmement douée, passionnée jusqu'à l'érudition par l'art sous toutes ses formes, ayant toujours un projet culturel ou artistique en vue, malgré le mal implacable qui la rongeait. Un combat qu'elle a mené avec courage, jusqu'au bout, sans  se plaindre, sans rien laisser paraître.
Son départ laissera un vide immense auprès des siens et ses nombreux amis très durement choqués et affectés par son décès. L'église des Mages était bien trop petite pour accueillir tous ceux venus lui rendre un dernier hommage. Françoise repose maintenant auprès de ses beaux-parents Louisette et Marcel.
En ces pénibles et douloureuses circonstances nous adressons nos condoléances attristées à Jean-Marc et toute sa famille dans la peine.  

1 commentaire:

  1. Comment y croire et pourtant il faudra bien l'accepter! Puisse ce seomd article etre le dernier avant longtemps, je te remercie au nom des miens.

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