jeudi 28 juillet 2011

Saint-Florent-sur-Auzonnet : La préfet Hugues Bousiges a été impressionné par l'exposition d'art contemporain



Le préfet Hugues Bousiges affectionne particulièrement notre région .Ses racines familiales plongent profondément dans la terre cévenole entre Robiac et Saint-Florent-sur-Auzonnet où se trouvent sa maison et son tombeau de famille. « En venant ici, j’ai décidé de faire parler mon cœur, quand j’arrive dans la vallée de l’Auzonnet, j’éprouve une émotion particulière »
Ce mercredi,au cours de son périple d’une journée, il a fait étape à la salle polyvalente Louis Aragon pour parcourir l’exposition d’Art contemporain qui se déroule en ce moment. Hugues Bousiges était accompagné de son frère Richard, lui aussi très attaché à notre commune. Il a d’ailleurs écrit deux ouvrages qui sont disponibles à la bibliothèque municipale.
Jean-Claude Paris, Gérard Catanèse, plusieurs élus du conseil municipal, des  membres de l’ACAC, et artistes étaient présents.
Le préfet s’est montré très admiratif de la qualité de l’exposition.
Attentif aux explications de Michèle Boucarut, il a aussi discuté avec les artistes présents.
Le préfet est un homme de terrain et de communication. Il aime le contact avec les gens, les discussions à bâtons rompus d’apparence anodine, il a montré qu’il avait une parfaite connaissance de son département et de chacune de ses entités. Avec son humour et sa bonhomie naturelle, il a montré par quelques réparties dont il a le secret, qu’il était très au fait des projets et des problèmes de chaque commune. Pour conclure, il a déclaré  « Je suis heureux de m’arrêter ici, de voir des visages amis. Je suis heureux en tant que Saint Florentin de cette initiative que vous avez prise ». Puis il a dédicacé le livre d’or « Bravo à Saint-Florent pour cette belle exposition et aux artistes divers, mais qui sont tous excellents et qui savent tous nous faire comprendre les liens secrets et profonds entre Art et Humanité » 
Limité par son emploi du temps, Hugues Bousiges a  quand même pris le temps de passer par l’Aubradou pour voir travailler le graffeur Josselin Vermeersch.

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